communiqué
Vous cherchez un chiffre, vous voulez mieux connaître un secteur culturel ? Téléchargez les Chiffres clés 2023 de la culture et de la communication.
Tout savoir sur le champ culturel en une fiche synthétique et des données mises à disposition au format tableur, c’est la mission des Chiffres clés de la culture et de la communication publiés chaque année :
Économie du champ culturel, formations, emplois et revenus, patrimoines, création et diffusion, médias et industries culturelles…
Les Chiffres clés, statistiques de la culture et de la communication répondent aux besoins d’information chiffrée des acteurs de la culture et constituent un outil essentiel pour penser les enjeux qui traversent le secteur. Cette analyse transversale du champ culturel s’appuie sur de nombreuses données issues de sources statistiques et administratives.
Structuré en sept grands chapitres, l’ouvrage présente la morphologie de la culture (poids économique, entreprises et emploi culturel, etc.) et son financement, fournit des informations sur les représentations et les pratiques culturelles des Français et décrit les trois grandes branches de la culture : patrimoines, création et diffusion, médias et industries culturelles.
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]]>D’après une étude de l’Université de Zurich, RIEN ne peut remplacer l’expérience émotionnelle de la musique live, du moins pour nos cerveaux. Chez Tsugi, on est toujours prêt à défendre l’importance du live, même si cela signifie se taper un rapport plein de mots scientifiques et de données un peu abruptes. On résume.
Source / Lire la suite : Rien ne remplace la musique live, c’est la science qui le dit
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]]>Les inégalités d’accès à la culture reviennent au premier plan des priorités affichées par la nouvelle ministre de la Culture. Après la création du « pass Culture » destiné à solvabiliser la demande culturelle des jeunes, quelles initiatives pourraient faire franchir un nouveau cap à l’ambition de démocratisation culturelle ? De nouvelles
revendications apparaissent autour de la volonté des publics éloignés des institutions culturelles d’être davantage pris en compte, écoutés mais surtout partie prenante de la vie culturelle comme acteurs et pas seulement comme consommateurs. Comment les institutions culturelles peuvent-elles intégrer la demande participative ?
Une nouvelle ambition de la « culture pour tous » peut-elle s’affirmer dans une démarche inédite visant à éviter aussi bien l’élitisme que le consumérisme culturel ?
La notion de « droits culturels » intervient ici comme une référence utile, déjà mise en avant par certaines municipalités. Cette notion, encore peu familière, reste difficile à cerner. Elle est pourtant présente dans notre droit depuis près de 10 ans, sans que sa portée pratique soit encore bien établie. De fait, son entrée dans la loi s’est faite de manière confuse, en partant d’une approche de principe plutôt qu’en fonction d’un projet de politique publique.
Pourtant, aussi vague et discutée que soit la notion, l’affirmation de « droits culturels » peut renouveler en partie la politique culturelle, notamment en renforçant la politique des publics. Celle-ci renvoie à l’ensemble des dispositifs déployés par les institutions culturelles publiques pour toucher les publics dits « empêchés » ou les
non-publics (ceux qui ne fréquentent jamais les musées, théâtres etc.). Malgré une impression de sur-place de l’action culturelle, la variété des projets mis en place pour sortir des formes traditionnelles de programmation reste trop méconnue. Plusieurs initiatives expérimentales mériteraient sinon une généralisation, du moins une large diffusion. Mais à condition que les « droits culturels » ne servent pas à contester la liberté de création et de programmation, qui doivent rester des principes cardinaux d’une politique publique de la culture.
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]]>Aller au cinéma, au musée, au spectacle, écouter la radio ou des podcasts, bricoler, tricoter, jardiner… L’accès à l’offre et aux loisirs culturels dépend-il du lieu de résidence et des caractéristiques sociales des individus ? La nouvelle exploitation de l’enquête Pratiques culturelles du DEPS (ministère de la Culture), croisée avec la grille communale de densité, se penche sur les écarts culturels entre ville et campagne
Source / Lire la suite : Loisirs des villes, loisirs des champs : quelle partition territoriale ?
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]]>Description de la structure
Le Grand Soufflet est une association loi 1901 ayant pour objet la promotion de la diversité
culturelle et artistique dans les domaines des musiques, mais aussi de toute autre discipline
artistique. Elle met en œuvre à ce titre différentes actions dont un festival, des actions
culturelles et des résidences de territoire.
Le Grand Soufflet porte une orientation artistique singulière offrant un vaste espace
d’expression aux musiques crées à travers le monde, vectrices de partage, de transmission
et de respect. La programmation est à la fois enracinée dans son territoire et ouverte sur le
monde et ses mouvements. Elle suit le chemin de l’accordéon, instrument à l’origine de la
création du Grand Soufflet.
A travers son projet artistique et son projet associatif, le Grand Soufflet s’attache à défendre
et promouvoir les valeurs de co-construction, d’ancrage territorial, d’ouverture sur le monde,
de droits culturels, de réseau et de lien entre les territoires, et de convivialité.
Description du poste
Sous l’autorité du Bureau de l’association et pour accompagner l’équipe salariée et le
bureau de l’association en l’absence temporaire de la Directrice, Le Grand Soufflet recrute
un renfort administratif ponctuel pour intervenir sur les mission suivantes :
• Conception et suivi budgétaire
• Elaboration des dossiers de demande de subvention
• Participation à la rédaction du rapport d’activités pour l’AG
• Accompagnement du bureau sur la politique salariale
• Prise en charge de tâches administratives courantes pour soulager l’équipe
Missions amenées à évoluer en fonction du profil et du plan de charge au sein de
l’association.
Profil recherché
Autonomie, sens de l’organisation et des responsabilités, dynamisme, rigueur
Maîtrise des outils informatiques de gestion budgétaire, la maîtrise sur logiciel Spaiectacle
serait un plus
Esprit d’équipe et de collaboration
Formation supérieure de type administration des entreprises culturelles ou bonne
expérience dans le domaine du spectacle vivant à un/des poste.s similaire.s (direction,
production, administration…).
Date de prise de fonction : Dès que possible
Rémunération et conditions
Contrat à durée déterminé (CDD ou CDDU selon le profil) jusque début mai avec possibilité
de renouvellement
Temps de travail estimé à 2 jours par semaine, à adapter selon les disponibilités du/de la
candidat.e et/ou le plan de charge
15 € / brut de l’heure
CV et lettre de motivation à adresser par mail à vie.associative@legrandsoufflet.fr dès que
possible. Pour toute information complémentaire : 06 65 63 87 65.
Lieu
Le Grand Soufflet
1 rue de la Conterie
35176 Chartres de Bretagne
Possibilité de télétravail ponctuel
Site web de l’association
https://www.legrandsoufflet.fr/
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]]>Suite à l’annonce du plan de 10 milliards d’euros d’économies supplémentaires sur l’année 2024 par Bruno Le Maire, le ministre de l’économie, les organisations syndicales ont signé un texte commun pour s’inquieter des conséquences pour le secteur culturel.
Par les coupes budgétaires massives que Bruno Le Maire a annoncées, le Gouvernement porte une attaque sans précédent à l’encontre des services publics au détriment de l’intérêt général. Car ce sont bien eux qui sont les victimes des arbitrages rendus, loin du Parlement pourtant chargé de voter les lois de finances ou leurs corollaires rectificatifs. Le décret du 21 février dernier, “portant annulation de crédits”, publié au journal officiel du 22 février dernier offre une liste édifiante des abandons ainsi décidés sous l’aune d’une austérité budgétaire qu’une politique d’impôts justes et efficaces auraient permis d’empêcher. Les déclarations par voie de presse du 7 mars dernier, du même ministre de l’Economie et des finances, confirment que les coupes de février ne sont qu’une première étape.
Les organisations de salariés et d’employeurs membres de la branche des entreprises artistiques et culturelles, ont découvert ces annonces avec effroi. En effet, le service public des arts et de la culture que nous représentons ensemble est touché par cette première vague “d’annulation de crédits” d’un niveau de plus de 202 millions d’euros, dont près de 96 millions visent directement le programme de la création artistique. Ce niveau de coupes budgétaires est absolument inédit et menace l’ensemble de l’écosystème déjà largement déstabilisé par les effets de la sortie complexe de la crise sanitaire, et des crises inflationniste et énergétiques plus récentes.
Concrètement, alors que nous étions en train de travailler à notre négociation annuelle obligatoire des salaires de la branche du spectacle vivant public, cette négociation est momentanément interrompue. Le déficit financier qui est en train de se construire rend l’accord difficile à atteindre assurément car non financé. Pourtant les demandes légitimes des salariés devront obtenir une réponse et donc les hausses de salaires risquent de se faire aux dépens de l’activité artistique elle-même et du volume d’emploi, car pour beaucoup de structures les déséquilibres économiques provoquent des licenciements voire des liquidations d’entreprises. Nous refusons de poursuivre dans cette voie mortifère.
Concrètement, l’activité artistique est en berne, les équipes artistiques ne peuvent plus produire, les coproducteurs et les diffuseurs voient le disponible pour l’activité artistique fondre comme neige au soleil. Un plan social à bas bruit est en oeuvre. Des milliers d’emplois sont directement menacés dans le silence assourdissant des élus de la nation. Nous ne pouvons pas l’accepter sans rien dire. Nous ne pouvons pas par ailleurs laisser dire que l’affaire est réglée par des astuces budgétaires, car nous sommes solidaires de tout l’écosystème : toute coupe dans le programme 131 impacte directement ou indirectement nos adhérents et adhérentes. Nous resterons solidaires et déterminés à empêcher ces mesures gravissimes.
Concrètement, le plan « mieux produire mieux diffuser » sur lequel tous et toutes avons dénoncé une mise en oeuvre chaotique et au-delà une logique de concentration dangereuse pour la diversité artistique, ne pourra pas se déployer dans ce contexte nonobstant le maintien de cette ligne budgétaire. Comment en effet chercher à « mieux » produire ou « mieux » diffuser, quand plus personne ne parvient à produire ni à diffuser dans des conditions décentes ?
Concrètement, le Pass culture est totalement épargné des efforts de régulation alors même que la masse budgétaire non consommée en 2023 est importante. Nous en contestons tous et toutes le modèle de soutien à la seule demande, et continuons de dénoncer le niveau de financement public qui devrait constituer la première piste de redéploiement dans ce contexte budgétaire.
L’attaque est tellement forte que notre conviction est de rassembler tous les opérateurs des services publics ainsi mis en cause : car cette politique ne vise pas seulement la culture, elle vise aussi l’éducation nationale, la recherche, la transition écologique dans des proportions totalement invraisemblables, les collectivités territoriales, pour ne citer que les services publics indissociablement liés à la politique culturelle. Mais la santé, le logement, la politique de la ville, les affaires étrangères et tant d’autres encore, sont aussi impactées.
Bruno Le Maire, premier comptable de ces décisions, répète à l’envie le tabou gouvernemental contre tout nouvel impôt alors que les entreprises du CAC 40 affichent de nouveaux records de profits.
Pendant ce temps-là, le Premier ministre parasite les négociations des partenaires sociaux sur l’assurance chômage. Le ministre de l’Economie et des finances exprime même son souhait définitif de la fin du paritarisme social, et menace une nouvelle fois de s’en prendre à celles et ceux qui, dans notre pays, se trouvent privés d’emploi. La mise en cause directe du paritarisme est une ligne rouge extrêmement importante pour nos organisations respectives. Nous appelons d’ailleurs à ce que l’accord que nous avons signé le 27 octobre dernier dans le cadre des négociations sur l’assurance chômage, soit repris par le Gouvernement.
Le renoncement social et écologique de ce Gouvernement est hors de proportion. Nous ne l’acceptons plus.
Tous et toutes, nous allons nous organiser pour que nos compatriotes mesurent les enjeux de ce qui est en train de se passer. Des élections ont lieu d’ici trois mois, c’est une bonne occasion de faire passer des messages. Nos salles de spectacles, de concert, d’opéra, nos pistes de cirque et tous les espaces de diffusion des créations artistiques sont pleines d’électeurs et électrices, nous allons nous adresser à eux.
Nous portons ensemble trois revendications précises et urgentes : le renoncement aux coupes budgétaires annoncées sur le programme 131 ; le refinancement du service public de la culture, des équipes artistiques et lieux indépendants, qui oeuvrent pour l’intérêt général et de la préservation des emplois, par une mobilisation conjointe des partenaires publics ; la mobilisation du ministère de la culture en faveur de la sauvegarde du régime de l’intermittence du spectacle.
Les signataires :
F3C CFDT – Communication Conseil Culture CFDT
FNAR – Fédération nationale des Arts de la rue
FSICPA – Fédération des structures indépendantes de création et de production artistiques / SYNAVI – Syndicat National des Arts Vivants / SCC – Syndicat des cirques et compagnies de création
LES FORCES MUSICALES – Syndicat professionnel des Opéras, Orchestres et Festivals lyriques
PROFEDIM – Syndicat professionnel des Producteurs, Festivals, Ensembles, Diffuseurs Indépendants de Musique
SFA CGT – Syndicat Français des Artistes-interprètes
SMA – Syndicat des Musiques Actuelles
SNAM CGT – Union Nationale des Syndicats d’Artistes Musiciens (Enseignants et Interprètes) de France CGT
SNAPAC – CFDT – Syndicat national des Artistes et des Professionnels de l’animation, du Sport et de la Culture
SNMS CGT – Syndicat National des Metteuses et Metteurs en Scène
SNSP – Syndicat National des Scènes publiques
SUD – Culture – Syndicat « Solidaires, Unitaires et Démocratiques » de la Culture
SYNDEAC – Syndicat national des entreprises artistiques et culturelles
SYNPTAC CGT – Syndicat National des Professionnel·le·s du Théâtre et des Activités Culturelles
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]]>Statistiques: Posté par OnStage — Aujourd’hui, 06:28
Punk dans l'âme, guitare saturée pointée comme une arme, Patti Smith n'a jamais succombé aux sirènes de la célébrité et continue de déconstruire les codes en convoquant un imaginaire foisonnant teinté de poésie. En plus de cinquante ans de carrière, la prêtresse chamanique a créé sa mythologie sans compromis. Un documentaire à voir ici � https://youtu.be/uYfIX8hmCCU
]]>Sur proposition du Syndeac, l’ensemble des organisations employeurs et salariés de la branche publique du spectacle vivant, ont signé une déclaration commune. A l’occasion de la réunion du Conseil national des professionnels du spectacle (CNPS) qui s’est tenue le 13 mars 2024, nous avons dénoncé avec force les coupes budgétaires sans précédent imposées au ministère de la culture. Nous travaillons à des initiatives communes pour répondre à nos trois revendications.
Paris, 13 mars 2023
Par les coupes budgétaires massives que Bruno Le Maire a annoncées, le Gouvernement porte une attaque sans précédent à l’encontre des services publics au détriment de l’intérêt général. Car ce sont bien eux qui sont les victimes des arbitrages rendus, loin du Parlement pourtant chargé de voter les lois de finances ou leurs corollaires rectificatifs. Le décret du 21 février dernier, “portant annulation de crédits”, publié au journal officiel du 22 février dernier offre une liste édifiante des abandons ainsi décidés sous l’aune d’une austérité budgétaire qu’une politique d’impôts justes et efficaces auraient permis d’empêcher. Les déclarations par voie de presse du 7 mars dernier, du même ministre de l’Economie et des finances, confirment que les coupes de février ne sont qu’une première étape.
Les organisations de salariés et d’employeurs membres de la branche des entreprises artistiques et culturelles, ont découvert ces annonces avec effroi. En effet, le service public des arts et de la culture que nous représentons ensemble est touché par cette première vague “d’annulation de crédits” d’un niveau de plus de 202 millions d’euros, dont près de 96 millions visent directement le programme de la création artistique. Ce niveau de coupes budgétaires est absolument inédit et menace l’ensemble de l’écosystème déjà largement déstabilisé par les effets de la sortie complexe de la crise sanitaire, et des crises inflationniste et énergétiques plus récentes.
Concrètement, alors que nous étions en train de travailler à notre négociation annuelle obligatoire des salaires de la branche du spectacle vivant public, cette négociation est momentanément interrompue. Le déficit financier qui est en train de se construire rend l’accord difficile à atteindre assurément car non financé. Pourtant les demandes légitimes des salariés devront obtenir une réponse et donc les hausses de salaires risquent de se faire aux dépens de l’activité artistique elle-même et du volume d’emploi, car pour beaucoup de structures les déséquilibres économiques provoquent des licenciements voire des liquidations d’entreprises. Nous refusons de poursuivre dans cette voie mortifère.
Concrètement, l’activité artistique est en berne, les équipes artistiques ne peuvent plus produire, les coproducteurs et les diffuseurs voient le disponible pour l’activité artistique fondre comme neige au soleil. Un plan social à bas bruit est en œuvre. Des milliers d’emplois sont directement menacés dans le silence assourdissant des élus de la nation. Nous ne pouvons pas l’accepter sans rien dire. Nous ne pouvons pas par ailleurs laisser dire que l’affaire est réglée par des astuces budgétaires, car nous sommes solidaires de tout l’écosystème : toute coupe dans le programme 131 impacte directement ou indirectement nos adhérents et adhérentes. Nous resterons solidaires et déterminés à empêcher ces mesures gravissimes.
Concrètement, le plan « mieux produire mieux diffuser » sur lequel tous et toutes avons dénoncé une mise en œuvre chaotique et au-delà une logique de concentration dangereuse pour la diversité artistique, ne pourra pas se déployer dans ce contexte nonobstant le maintien de cette ligne budgétaire. Comment en effet chercher à « mieux » produire ou « mieux » diffuser, quand plus personne ne parvient à produire ni à diffuser dans des conditions décentes ?
Concrètement, le Pass culture est totalement épargné des efforts de régulation alors même que la masse budgétaire non consommée en 2023 est importante. Nous en contestons tous et toutes le modèle de soutien à la seule demande, et continuons de dénoncer le niveau de financement public qui devrait constituer la première piste de redéploiement dans ce contexte budgétaire.
L’attaque est tellement forte que notre conviction est de rassembler tous les opérateurs des services publics ainsi mis en cause : car cette politique ne vise pas seulement la culture, elle vise aussi l’éducation nationale, la recherche, la transition écologique dans des proportions totalement invraisemblables, les collectivités territoriales, pour ne citer que les services publics indissociablement liés à la politique culturelle. Mais la santé, le logement, la politique de la ville, les affaires étrangères et tant d’autres encore, sont aussi impactées.
Bruno Le Maire, premier comptable de ces décisions, répète à l’envie le tabou gouvernemental contre tout nouvel impôt alors que les entreprises du CAC 40 affichent de nouveaux records de profits.
Pendant ce temps-là, le Premier ministre parasite les négociations des partenaires sociaux sur l’assurance chômage. Le ministre de l’Economie et des finances exprime même son souhait définitif de la fin du paritarisme social, et menace une nouvelle fois de s’en prendre à celles et ceux qui, dans notre pays, se trouvent privés d’emploi. La mise en cause directe du paritarisme est une ligne rouge extrêmement importante pour nos organisations respectives. Nous appelons d’ailleurs à ce que l’accord que nous avons signé le 27 octobre dernier dans le cadre des négociations sur l’assurance chômage, soit repris par le Gouvernement.
Le renoncement social et écologique de ce Gouvernement est hors de proportion. Nous ne l’acceptons plus.
Tous et toutes, nous allons nous organiser pour que nos compatriotes mesurent les enjeux de ce qui est en train de se passer. Des élections ont lieu d’ici trois mois, c’est une bonne occasion de faire passer des messages. Nos salles de spectacles, de concert, d’opéra, nos pistes de cirque et tous les espaces de diffusion des créations artistiques sont pleines d’électeurs et électrices, nous allons nous adresser à eux.
Nous portons ensemble trois revendications précises et urgentes :
Les signataires :
F3C CFDT – Communication Conseil Culture CFDT
FNAR – Fédération nationale des Arts de la rue
FSICPA – Fédération des structures indépendantes de création et de production artistiques / SYNAVI – Syndicat National des Arts Vivants / SCC – Syndicat des cirques et compagnies de création
LES FORCES MUSICALES – Syndicat professionnel des Opéras, Orchestres et Festivals lyriques
PROFEDIM – Syndicat professionnel des Producteurs, Festivals, Ensembles, Diffuseurs Indépendants de Musique
SFA CGT – Syndicat Français des Artistes-interprètes
SMA – Syndicat des Musiques Actuelles
SNAM CGT – Union Nationale des Syndicats d’Artistes Musiciens (Enseignants et Interprètes) de France CGT
SNAPAC – CFDT – Syndicat national des Artistes et des Professionnels de l’animation, du Sport et de la Culture
SNMS CGT – Syndicat National des Metteuses et Metteurs en Scène
SNSP – Syndicat National des Scènes publiques
SUD – Culture – Syndicat « Solidaires, Unitaires et Démocratiques » de la Culture
SYNDEAC – Syndicat national des entreprises artistiques et culturelles
SYNPTAC CGT – Syndicat National des Professionnel·le·s du Théâtre et des Activités Culturelles
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]]>L’article Communiqué des organisations de la CPPNI du spectacle vivant public est apparu en premier sur SNSP : Syndicat national des Scènes Publiques.
]]>Le festival des Vieilles Charrues est organisé par l’association du même nom, reposant à l’année sur une équipe de 16 permanents, un bureau et un CA. Du 11 au 14 juillet 2024, plus de 200 000 festivaliers sont attendus pour fouler la pelouse de Kerampuilh au son d’une programmation éclectique mariant têtes d’affiches internationales et découvertes, rock, hip hop, chanson, mais aussi électro, pop, musiques du monde… Cinq jours durant, le cœur de la Bretagne bat au rythme du festival, véritable centre névralgique de la fête.
Sous l’autorité des responsables de la logistique alimentaire, vous réalisez les missions suivantes :
Date de prise de fonction : 13 mai 2024
Date limite de candidature : 14/04/2024
Rémunération : 1892 € bruts par mois / 35 H semaine
Carhais-Plouguer (29)
info@vieillescharrues.asso.fr
www.vieillescharrues.asso.fr
L’article LES VIEILLES CHARRUES recrutent un assistant logistique alimentaire [F/H] est apparu en premier sur Musiques Actuelles en Bretagne.
]]>Le programme régional Culture et Santé offre l’opportunité aux établissements éligibles qui le souhaitent, d’inscrire une démarche artistique et culturelle dans leur projet d’établissement et de santé. Les appels à candidature régionaux Culture Santé s’inscrivent dans le cadre de la politique interministérielle initiée en 1999 et renouvelée en 2010 par la convention nationale Culture Santé entre le ministère de la Santé et le ministère de la Culture.
Le ministère de la Culture et le ministère de la Santé mènent depuis plus de vingt ans une politique commune d’accès à la culture pour tous les publics en milieu hospitalier et médico-social.
Destinée à promouvoir les actions en faveur du rayonnement et de la visibilité de la thématique “Culture et Santé”, cette politique interministérielle participe à amener la Culture « près » des citoyens et à développer le partage d’expériences entre les acteurs. L’ensemble de la communauté de soin est visée : personnes hospitalisées, personnes âgées, familles, professionnels de la santé et du médico-social.
Dans chaque région, la déclinaison de ce programme est confiée aux Directions Régionales des Affaires Culturelles (DRAC/DAC) et aux Agences régionales de Santé (ARS) qui définissent conjointement leurs axes de priorités. Ainsi des appels à candidature régionaux permettent de soutenir des actions de coopérations entre le secteur culturel et les milieux de santé.
Ce programme couvre l’ensemble des secteurs artistiques et culturels (spectacle vivant, arts visuels et arts numériques, cinéma-audiovisuel, livre et lecture, patrimoines, musées, archives).
Prendre part à la vie culturelle réduit l’isolement des personnes et respecte leur dimension existentielle. La culture, vecteur de valorisation personnelle, professionnelle et sociale, est considérée comme une contribution à la politique de santé qui accorde une nouvelle place à l’usager. Une action culturelle au sein des établissements de santé contribue également à la qualité des relations professionnelles et améliore l’inscription des établissements dans la cité.
Les objectifs généraux des appels à projets Culture et Santé sont :
Pour en savoir plus, reportez-vous aux critères d’éligibilité par région ci-dessous.
Vous trouverez ci-dessous les critères d’éligibilité, modalités de dépôt et contacts en fonction du lieu de réalisation de votre projet. Merci de vous reporter aux informations régionales ci-dessous pour connaître le calendrier mis en place par la DRAC ou DAC
Bretagne (dépôt jusqu’au 15 mai 2024)
La convention régionale Culture Santé (DRAC/ARS Bretagne) invite à l’émergence de nouvelles initiatives par le biais d’un appel à projets annuel. Le partenariat Culture Santé vise à renforcer l’accès à la culture et contribuer au développement culturel au sein des établissements de santé ou médico-sociaux, par le biais de leur rapprochement avec les équipements ou lieux culturels de Bretagne.
Cet appel à projets s’adresse à tous les établissements de santé et médico-sociaux relevant de l’ARS, qu’ils soient publics ou privés, en partenariat avec des structures culturelles de la région Bretagne. Le dispositif est organisé au bénéfice des patients, de leur famille et des professionnels de santé (soignants et non soignants).
Cet appel à projets s’adresse à tous les établissements de santé et médico-sociaux relevant de l’ARS, qu’ils soient publics ou privés, en partenariat avec des structures culturelles de la région Bretagne. Le dispositif est organisé au bénéfice des patients, de leur famille et des professionnels de santé (soignants et non soignants).
Les projets doivent s’inscrire dans l’un des deux cahiers des charges :
L’ARS et la DRAC interviendront au taux maximal de 60 % du montant du projet.
Chaque projet retenu sera financé par une seule des deux institutions partenaires du programme régional Culture et Santé. Les subventions seront versées au cours du second semestre.
L’intégralité de l’aide financière sera versée uniquement aux structures culturelles.
Les subventions ne peuvent servir à couvrir les frais de fonctionnement de l’établissement de santé ou médico-social ou de l’opérateur culturel, mais doivent être affectées aux dépenses induites par chaque projet (rémunérations des intervenants et leurs défraiements).
Si l’action prévue et aidée dans le cadre de l’appel à projets n’est pas réalisée, le montant des subventions devra être reversé.
La programmation annuelle est arrêtée :
Une fois expertisés, les projets sont soumis à l’avis de l’instance décisionnelle Culture et Santé qui valide le financement des projets retenus dans le respect des engagements conclus entre les partenaires, dans le cadre du protocole d’accord régional, en tenant compte du montant des crédits disponibles pour l’exercice budgétaire et des cofinancements mobilisés.
Pour toute question sur le dispositif Culture et Santé en Bretagne, vous êtes invités à vous adresser à la DRAC Bretagne :
Service Action culturelle et territoriale
sante-drac.bretagne@culture.gouv.fr
02 99 29 67 83
6 Rue du Chapitre, 35000 Rennes
L’article Appel à projets “Culture & Santé, handicap et dépendance” est apparu en premier sur Musiques Actuelles en Bretagne.
]]>Kdenlive 24.02 est sorti le 11 mars 2024 avec plusieurs changements majeurs sous le capot et quelques nouveautés et améliorations.
L’article Kdenlive 24.02 est disponible ! Quoi de neuf ? est apparu en premier sur Numétopia.
]]>Anne Tanguy a été nommée à la direction du Quartz, Scène nationale de Brest. Elle va diriger la plus grande Scène nationale de France fermée après près de trois ans pour de vastes travaux de rénovation.
Anne Tanguy est actuellement directrice des 2 Scènes, Scène nationale de Besançon depuis 2011. Elle a auparavant été directrice de la Scène conventionnée du Théâtre d’Auxerre et secrétaire générale de la Scène nationale 61 à Alençon.
Dans un Quartz rénové après trois années de travaux, Anne Tangy définit son projet autour de trois fondamentaux, « Alliance, Altérité et Solidarité », qu’elle propose de porter en équipe, à l’intention des artistes, des publics et des partenaires.
Anne Tanguy entend poursuivre l’histoire de cet établissement emblématique, populaire, et ouvert sur la métropole, la région, le national et l’international. Elle entend s’appuyer sur les enjeux traversés par le Quartz depuis son ouverture et l’amener à relever les défis d’aujourd’hui liés à la création, à la participation des publics, à la justice sociale et à la durabilité.
Enfin, le projet d’Anne Tanguy cherchera à accompagner les artistes et les œuvres, en collaboration avec des partenaires au niveau régional, national et européen. Une plus grande attention sera portée à l’enfance, à la jeunesse et aux familles. Des jumelages seront imaginés avec les quartiers brestois.
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